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Le Futur du Marketing Digital au Maroc en 2023

Le Futur du Marketing Digital au Maroc en 2023

Le Maroc est un pays en développement qui a connu une forte croissance économique ces dernières années, notamment grâce à une augmentation de l’utilisation des technologies de l’information et de la communication. Cette tendance est particulièrement vraie dans le domaine du marketing digital, qui devrait connaître une forte expansion dans les années à venir. Selon une étude récente, le marché du marketing digital au Maroc devrait connaître une croissance annuelle de plus de 30 % d’ici 2023, avec une valeur estimée à plus de 2 milliards de dollars. Cette croissance s’explique en partie par l’augmentation du nombre d’internautes dans le pays, ainsi que par la multiplication des initiatives gouvernementales visant à favoriser l’innovation et l’entrepreneuriat dans le domaine du numérique. Dans ce contexte, l’agence digitale AMTIC se positionne comme un acteur incontournable du marché marocain du marketing digital. Créée en 2013, AMTIC est une agence de communication digitale qui accompagne les entreprises dans leur transformation digitale, en proposant une gamme complète de services allant du conseil stratégique à la création de contenus, en passant par la gestion de la présence en ligne et la mise en place de campagnes publicitaires. Grâce à une équipe dynamique et expérimentée, ainsi qu’à une vision novatrice de l’innovation digitale, AMTIC s’est imposée comme une référence dans le domaine de la communication digitale au Maroc. L’agence travaille avec de nombreux clients dans divers secteurs, avec les PME et les grandes entreprises aussi. En conclusion, le marché du marketing digital au Maroc devrait connaître une croissance significative d’ici 2023, porté par une demande croissante des entreprises en matière de communication digitale. Dans ce contexte, l’agence digitale AMTIC est bien placée pour répondre à cette demande en proposant des solutions innovantes et sur mesure pour les entreprises marocaines.

Réouverture de l'ambassade du Royaume du Maroc en Irak après 18 ans de fermeture

Réouverture de l’ambassade du Royaume du Maroc en Irak après 18 ans de fermeture

La mise en place de l’ambassade du Royaume du Maroc en Irak a été ouverte le 28 janvier 2023 à Bagdad, et ce en présence de M. Nasser Bourita, ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, de M. Fouad Hussein, ministre irakien des Affaires étrangères, de personnalités politiques, d’hommes d’affaires irakiens et de représentants d’organisations internationales en Irak. “Nous assistons aujourd’hui à une nouvelle ère des relations maroco-irakiennes, sur les mêmes bases solides déjà en place, mais avec des visions en conformité avec la réalité des deux pays et de la région”, a affirmé M. Bourita. Selon M. Bourita, l’ouverture de l’ambassade du Maroc en Irak est un élément du renforcement des relations solides entre les deux pays. Pour sa part, le ministre irakien des Affaires étrangères a favorablement accueilli l’ouverture de l’ambassade du Maroc à Bagdad, indiquant qu’il est un mécanisme important de consolidation des liens qui unissent les activités des deux pays frères et une preuve que ces relations ont atteint un niveau très avancé. “Sur cette base, nous construirons des relations économiques, commerciales, culturelles, sécuritaires et dans divers domaines, ainsi qu’une action conjointe aux niveaux arabe, islamique et international”, a ajouté le ministre Irakien.

La réunion de haut niveau aura lieu les 1er et 2 février à Rabat selon Albares

La réunion de haut niveau (RHN) entre le Maroc et l’Espagne aura lieu les 1er et 2 février 2023 à Rabat, comme convenu par les deux gouvernements, a annoncé mercredi le ministre espagnol des Affaires étrangères, José Manuel Albares. «Un bon nombre d’accords» seront signés lors de cette réunion dont la tenue s’inscrit dans le cadre de la mise en place des dispositions de la feuille de route adoptée en avril 2022 lors de la visite au Maroc du président du gouvernement espagnol, Pedro Sanchez, sur invitation du roi Mohammed VI, a précisé le ministre espagnol des Affaires étrangères, José Manuel Albares, depuis Niamey, où il a entamé ce mercredi une tournée qui le conduira également au Nigeria et en Guinée-Bissau. Le chef de la diplomatie ibérique a également souligné que le sommet permettra de passer en revue toute une série de questions dans le cadre de ce qu’il décrit comme une «relation étroite, importante et solide». La coopération entre le Maroc et l’Espagne «s’est renforcée» au cours de l’année écoulée, comme en témoignent la baisse de 26% des arrivées de migrants irréguliers et l’augmentation de 30% des échanges commerciaux, a encore fait savoir Albares. La dernière réunion de haut niveau tenue entre les deux pays remonte à 2015.

Gad El Maleh en tournée dans trois villes du Maroc à partir du 29 Janvier

Le comédien, humoriste et réalisateur Gad Elmaleh sera en tournée à partir du 29 janvier 2023 dans trois villes du Maroc. Il commencera par Casablanca, sa ville de cœur qui l’a vu naître il y a 50 ans, avec deux dates au Studio des Arts Vivants. L’information a failli passer inaperçue. Aucune trace ni sur les réseaux sociaux ni sur les plateformes marocaines de billetterie. Et pourtant le comédien, humoriste et réalisateur Gad Elmaleh, très apprécié au Maroc, va bel et bien y présenter son dernier one-man-show intitulé «D’ailleurs». C’est ce que révèle une affiche 4/3 vue dans un quartier de Casablanca. En tout, 5 dates à retenir: le 29 et le 30 janvier au Studio des Arts Vivants de Casablanca, sa ville de cœur où il est né en 1971 et où les prix des billets seront moins coûteux, le 31 janvier au Théâtre Mohammed V à Rabat, les 3 et 4 février au Palais des congrès de Marrakech.

Le salon international de l’édition et du livre se tiendra à nouveau à Rabat, en juin 2023

L’édition 2023 du Salon international de l’édition et du livre aura lieu à Rabat. Pour la deuxième année consécutive, le SIEL s’installe dans la capitale du Maroc, qui va accueillir cette grand-messe du livre du 1er au 11 juin prochain, selon les premières indiscrétions. Le Salon international de l’édition et du livre se tiendra une fois encore à Rabat. Finie donc la polémique de l’an dernier lorsque plusieurs professionnels du livre ont contesté le transfert du SIEL de son cadre historique de Casablanca vers Rabat. Il semble que beaucoup aient changé d’avis après avoir constaté que l’organisation et le choix du lieu étaient bien mieux adaptés. «A Rabat, le Salon est mieux organisé. Le bâtiment de la Foire de Casablanca est délabré…», explique une éditrice dans une déclaration pour Le360. Aux dernières nouvelles, l’édition 2023 du Salon international de l’édition et du livre aura lieu du 1er au 11 juin. Une date qui coïnciderait avec l’organisation de deux autres évènements livresques, à savoir Littératures itinérantes, et le Salon international de l’édition et du livre de Tanger organisé par l’Institut français du Maroc. L’occasion peut-être de réfléchir à une synergie entre les trois messes du livre et de co-programmer des évènements parallèles en marge du SIEL.

اللقاءات الجهوية التشاورية حول التحول الرقمي: السيدة غيثة مزور تلتقي بالمواطنات والمواطنين بجهة الرباط- سلا – القنيطرة

شارك فريق Rabatcity.ma في اللقاء التشاوري حول التحول الرقمي المنظم من طرف وزارة الانتقال الرقمي وإصلاح الإدارة برئاسة السيدة الوزيرة Ghita Mezzour, PhD ، والسيد محمد يعقوبي والي جهة الرباط -سلا -القنيطرة، عامل عمالة الرباط، والسيد رشيد العبدي رئيس مجلس جهة الرباط سلا القنيطرة. بهذه المناسبة ننوه بالمجهودات المبذولة لإشراك المواطنين و حاملي المشاريع في صياغة الاستراتيجية الوطنية للتحول الرقمي بالإنصات والاستماع لانشغالاتهم واقتراحاتهم و ذلك انسجاماً مع الرؤية الملكية السامية المُتبصرة لصاحب الجلالة حفظه الله الذي أكد على ضرورة انخراط بلادنا بشكل فاعل في دينامية التحول الرقمي التي يعرفها العالم اليوم. Ministère de la Transition Numérique et de la Réforme de l’Administration

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Startups – Tarik Haddi: le Maroc a des atouts à faire valoir

Tout juste rentré de Londres où il a participé à une rencontre avec la diaspora marocaine, Tarik Haddi, président du directoire de Azur innovation fund revient sur les thèmes de son intervention. Cette dernière s’inscrit dans le cadre d’un évènement organisé à la suite du discours prononcé par le Roi Mohammed VI, le 20 août 2022. Il y explique les avantages d’investir au Maroc. Pour rappel, le Souverain avait appelé, lors de son allocution, le secteur national de la finance à s’ouvrir sur les investisseurs membres de la Communauté marocaine à l’étranger. Autour de quels thèmes s’est articulée votre intervention ? J’ai structuré mon intervention autour de trois axes. À commencer par les avancées du Maroc en matière de politiques industrielles, car il est important que les startups, qui veulent s’installer dans le Royaume, s’inscrivent dans ces politiques pour bénéficier d’écosystèmes structurés. Je me suis ensuite attardé sur le potentiel de l’écosystème startup au Maroc et les mécanismes d’accompagnement et de financement mis en place. J’ai enfin exposé le fonds Azur Innovation, qui peut accompagner les promoteurs souhaitant développer des startups innovantes au pays. Quels secteurs particuliers avez-vous explorés avec la communauté à l’étranger ? J’ai rappelé que les politiques industrielles du Royaume étaient axées sur les métiers mondiaux du Maroc (automobile, agro-alimentaire, textile, offshoring, aéronautique et chimie autour de l’OCP), auxquels se rajoutent désormais le numérique, les filières ENR et celles de l’hydrogène vert et de la gestion de l’eau. J’ai ainsi mis l’accent sur le business case du secteur automobile, pour illustrer comment une filière industrielle, accompagnée efficacement par l’État, pouvait créer des opportunités importantes d’installation de startups. Lire l’article sur : Les Ecos.ma

Les investissements étrangers

Les investissements étrangers en cours visent la création de 5000 emplois directs

• Quelle est la situation actuelle du secteur qui a été, à l’instar des autres industries, sérieusement impacté par la crise sanitaire ? Le secteur du cuir, à l’instar des autres secteurs industriels, a connu une régression, à la fois au niveau de la production et des exportations de plus de 30% durant la période sanitaire. Cette situation a commencé à s’améliorer à partir du deuxième semestre de 2021. Et selon les dernières statistiques du mois d’août, le secteur a connu une amélioration de ses exportations, qui est essentiellement portée par la filière de la chaussure, qui a enregistré, durant les huit premiers mois de l’année, une hausse de 30,3%, soit 514 MDH en plus. Ses exportations sont passées de 1,6 MMDH pour la même période de 2021 à 2,210 MMDH. • Cette reprise est-elle le résultat des mesures mises en place dans le cadre de votre Plan de relance sectoriel ? En effet, la Fedic a mis en place, en étroite collaboration avec le ministère de tutelle et la CGEM, un plan de relance, en réponse à la crise sanitaire. Ce plan s’articulait autour de plusieurs axes, dont les plus importants sont le «Made In Morocco», la préférence nationale et l’incitation aux investissements dans le secteur. Les résultats ont été satisfaisants. En effet, le relèvement des taux de douane d’importation a permis de donner un coup de fouet aux fabricants du marché local. La mise en œuvre de la banque de projets par le ministère de tutelle a eu comme conséquence également la réalisation des dizaines d’investissements ciblés dans le secteur du cuir. Je peux vous dire que le secteur aujourd’hui s’est bien relevé et son attractivité s’est nettement améliorée. Lire L’article : La VieEco

cervantes-rabat

Un cycle de cinéma afro-américain, du 14 octobre au 11 novembre à l’Institut Cervantes de Rabat

Cette manifestation cinématographique sera marquée par la projection de quatre films de fiction produits en Amérique latine, qui reflètent les différentes réalités des communautés afro-descendantes de cette région, indique un communiqué de l’Institut Cervantes de Rabat. Le cycle de cinéma démarrera le vendredi 14 octobre par la projection du film “Perro Bomba” (Juan Cáceres, 2019-Chili), suivi le mercredi 19 du même mois du film “Negrada” (Jorge Pérez Solano, 2018 – Mexique), précise la même source. Les cinéphiles pourront également regarder le 28 octobre “Cocote” (Nelson Carlo de los Santos Arias, 2017 – République Dominicaine) et le 4 novembre “Siembre” (Santiago Lozano et Angela Osorio, 2015 – Colombie), note le communiqué, ajoutant que ces longs-métrages seront projetés, à partir de 18H30 au centre Cervantes de Rabat, en version originale en langue espagnole, et sous-titrés en français ou en anglais. Le cycle de cinéma “Les vents d’Afrique: la troisième racine” est le fruit d’une collaboration entre le centre Cervantes de Rabat et le Festival du film africain de Tarifa/Tanger qui se déroule depuis 17 ans de part et d’autre du détroit de Gibraltar. Source : LesInfos.ma

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Al Boraq Rabat-Fès : les déclarations du ministre du Transport et de la Logistique

Les processus de réalisation du réseau TGV entre Rabat et Fès sont sur la bonne voie selon le ministère du Transport, qui a annoncé le lancement prochain d’une étude détaillée sur le financement du projet. Interrogé au parlement sur la vision du ministère autour du TGV, le ministre Mohammed Abdeljalil a souligné que les études préliminaires sont achevées sur la ligne Rabat-Meknès en passant par Khémisset. Ces études préliminaires ont porté sur l’étude de marché, l’impact environnemental et social du projet et une étude détaillée et approfondie des prévisions de mobilité et de circulation des passagers et des marchandises ainsi que le retour sur investissement de ce projet colossal, a-t-il précisé. La prochaine étape du processus consiste à lancer une étude détaillée de la mise en œuvre du projet et de sa structure de financement, a-t-il annoncé. “Ce projet nécessitera un financement important qui devra mobiliser tous les acteurs et partenaires pour trouver des schémas de financement pratiques, efficaces et innovants”, a noté le ministre. Le plan prévoit l’installation de 1 300 km de nouvelles lignes à grande vitesse et de 3 800 km de lignes ferroviaires classiques pour relier 43 villes, contre 23 actuellement. Ces nouvelles lignes permettront à 87 % de la population, contre 51 % actuellement, de bénéficier d’un transport ferroviaire sûr.