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Le Maroc et l’Argentine se Neutralisent dans un Match Électrisant au Stade Geoffroy Guichard

Dans le stade Geoffroy Guichard de Saint-Étienne, qui soutenait ardemment l’équipe marocaine, les Lions de l’Atlas ont débuté la première période de leur match contre l’Argentine de manière impressionnante. Ils ont ouvert le score juste avant la mi-temps grâce à Soufiane Rahimi, qui continue d’afficher une belle forme avec Al Ain. Grâce à une superbe action collective, le Maroc a terminé la première mi-temps en tête. Dès le coup d’envoi de la seconde période, le Maroc a rapidement doublé son avance grâce à un penalty obtenu par Akhomach, que Rahimi, en pleine confiance, a transformé pour signer son doublé. Cependant, l’inexpérience de notre équipe jeune a commencé à se faire sentir, entraînant un repli défensif face à une Argentine déterminée. Les Argentins ont réussi à réduire l’écart avec un but de Giuliano Simeone, fils de l’illustre Diego Simeone, légende du football argentin des années 90 et actuel entraîneur de l’Atlético de Madrid. Le moment décisif de la rencontre est survenu durant les arrêts de jeu L’arbitre suédois a décidé d’accorder 15 minutes de temps additionnel, permettant à l’Albiceleste d’égaliser à la toute fin du match grâce à un but de Medina. Ce retournement de situation est d’autant plus incompréhensible et frustrant au regard du déroulement de la rencontre. De plus, le fait de ne pas avoir utilisé les cinq changements disponibles, un coaching hésitant (avec des sorties prématurées d’El Khannouss et d’Akhomach), ainsi qu’une jeunesse qui a peiné à gérer les moments difficiles du match, ont eu des conséquences significatives sur le résultat final.

Résilience Économique Malgré les Chocs de 2022 et le Séisme de 2023

En 2022, le Maroc a été confronté à plusieurs chocs interconnectés. Une grave sécheresse a contribué à près de la moitié du ralentissement économique observé cette année-là, tandis que le pays a également subi les effets d’un ralentissement économique mondial et de la hausse des prix des matières premières, conséquence de l’invasion russe de l’Ukraine. La croissance du PIB réel a ainsi chuté, passant de 8 % en 2021 à 1,3 % en 2022. Cependant, avec l’atténuation de ces chocs, la croissance a repris de l’élan en 2023, soutenue par un redressement partiel de la production agricole, un rebond du tourisme et une contribution positive des exportations nettes. Au premier semestre 2023, la croissance annuelle du PIB réel a ainsi atteint 3 %. Le séisme survenu dans la province d’Al Haouz le 8 septembre a causé des pertes humaines et des destructions considérables, mais il est peu probable qu’il freine l’accélération économique en cours, car les zones les plus touchées représentent une part modeste du PIB national et sont faiblement intégrées à l’économie. Le principal risque macroéconomique réside dans l’impact potentiel du tremblement de terre sur le secteur touristique. Néanmoins, des données préliminaires indiquent que la situation est rapidement revenue à la normale dans la plupart

Le Maroc se positionne en tête à l’échelle mondiale pour l’importation de thé vert chinois

Le thé à la menthe est une boisson indispensable sur les tables marocaines, appréciée tout au long de la journée, du matin au soir. Que ce soit en solitaire ou en compagnie, il demeure la boisson de prédilection des Marocains, de toutes générations confondues. C’est un rituel quotidien profondément enraciné dans leur culture, affirmant ainsi leur statut parmi les plus grands consommateurs mondiaux de thé vert. Le Maroc se distingue en tant que premier consommateur de thé vert chinois à l’échelle mondiale. Selon les récentes statistiques du Ministère du Commerce chinois, la province de Hubei a expédié l’année dernière une quantité record de thé vers le Maroc, atteignant environ 7640,5 tonnes pour une valeur d’exportation de 32,9 millions de dollars. Au cours des cinq premiers mois de cette année, cette même province chinoise a exporté 5156,1 tonnes de thé vers le Maroc, représentant une valeur de 20,26 millions de dollars. Depuis l’ouverture du marché en 1993, le secteur du thé a connu une croissance exponentielle au Maroc, avec une expansion rapide du nombre de marques disponibles sur le marché. En outre, selon les données des douanes chinoises, environ 25 800 tonnes de thé ont été exportées à mi-2024, une part significative étant destinée au marché marocain, avec des exportations totalisant 102 millions de dollars, marquant une légère baisse de 29,85 % par rapport à l’année précédente. Le thé vert jouit d’une popularité généralisée à travers tout le pays, devenant un élément incontournable des repas à toute heure. Ce qui était à l’origine un simple remède importé est aujourd’hui un symbole de l’hospitalité et de la générosité marocaines, et il est célébré comme un patrimoine culturel à chaque occasion.

Le « Festival des Plages » de Maroc Telecom entame sa 20ème édition, prévue du 13 juillet au 21 août 2024.

Maroc Telecom célèbre la vingtième édition de son « Festival des Plages », débutant le 13 juillet 2024 dans six villes balnéaires du Royaume. Cet événement estival emblématique, attendu chaque année par des millions de spectateurs, promet une expérience festive et des soirées mémorables. Depuis plus de deux décennies, le « Festival des Plages » s’est imposé comme un rendez-vous incontournable de l’été marocain, mettant en avant la diversité musicale du pays à travers plus de 100 concerts et la participation de plus de 200 artistes nationaux et internationaux. Cette année, les festivités se dérouleront du 13 juillet au 21 août 2024 à M’diq, Tanger, El Hoceima, Martil, Saïdia et Nador. Gratuit et ouvert à tous, le festival propose une programmation variée incluant Hip Hop, Rap, Fusion, Chaabi, musique contemporaine marocaine, musique Sharqui, Raï et Reggada. Les scènes, équipées selon les standards internationaux, garantissent des performances artistiques de haute qualité. Depuis sa création en 2002, le « Festival des Plages » de Maroc Telecom s’engage à promouvoir l’inclusion sociale à travers la musique, facilitant ainsi l’échange culturel et permettant à un large public de découvrir la richesse musicale du Royaume. Venez célébrer plus de vingt années de succès et de passion musicale lors de soirées inoubliables animées par des artistes renommés tels que Balqees, Stati, Aminux, Douzi, Ikram Abdia, Najat Atabou, Saida Charaf, Said Senhaji, L’Artiste, Muslim, Mehdi Mozzayine, Statia, Dizzy Dross, Mehdi Fadili, Tagne, Rym, Mocci, Said Mosker, Karima Gouit, Mouss Mahir, et bien d’autres.

Marsa Maroc réussit enfin en Afrique : une troisième tentative couronnée de succès.

Selon un article de Jeune Afrique, les autorités béninoises ont confié la gestion des terminaux 1 et 5 du port autonome de Cotonou à l’opérateur marocain Marsa Maroc, après deux tentatives infructueuses hors du Maroc. Cette décision marque une étape significative dans l’internationalisation des activités de Marsa Maroc, qui accompagnera Bénin Manutentions dans le démarrage et la gestion des opérations portuaires à Cotonou. Cette initiative fait suite à des expériences précédentes où Marsa Maroc avait connu des revers en Afrique subsaharienne, notamment avec le retrait de sa licence pour le terminal du port de Takoradi au Ghana en 2019, et la perte de l’appel d’offres pour un terminal à Kribi, au Cameroun, au profit d’ICTSI des Philippines. Le port autonome de Cotonou, vital pour l’économie béninoise avec près de 80 % de ses recettes générées, a vu passer 12 millions de tonnes en 2022 malgré les défis liés à la crise avec le Niger. Pour Marsa Maroc, qui gère 24 terminaux au Maroc et a traité 56,9 millions de tonnes de marchandises en 2023, cette expansion représente un engagement envers la coopération Sud-Sud, soutenue par Tanger Med, son principal actionnaire à 35 %. Tanger Med, premier port de la Méditerranée et un lien essentiel entre l’Europe et l’Afrique, joue un rôle clé dans l’expansion de Marsa Maroc et son intégration dans les économies subsahariennes.

L’impact de l’intelligence artificielle présente encore des possibilités à explorer.

L’intégration de l’intelligence artificielle (IA) dans l’enseignement et la recherche au Maroc présente un potentiel significatif pour améliorer l’efficacité, personnaliser l’apprentissage et ouvrir de nouvelles perspectives de recherche. Une étude menée par des doctorants marocains souligne que bien que les enseignants et les étudiants reconnaissent les avantages de l’IA, des défis persistants tels que le manque de formation et les préoccupations éthiques entravent son adoption. L’introduction de l’IA dans le système éducatif et de recherche marocain représente une évolution cruciale. Cette technologie révolutionne les approches traditionnelles, augmentant ainsi l’efficacité dans divers domaines, dont l’enseignement supérieur. Une étude récente intitulée “Impact de l’intelligence artificielle sur l’enseignement et la recherche au Maroc”, menée par Ghizlane Moukhliss, Khalid Lahyani et Ghizlane Diab, explore ces transformations et leurs implications. L’étude met en lumière les progrès enregistrés et les défis restants : par exemple, plus de 38% des enseignants interrogés sont peu familiarisés avec les outils d’IA, tandis que 67% ont déjà utilisé de tels outils dans leur enseignement ou recherche. Cependant, 53% des établissements n’utilisent pas du tout l’IA, et des préoccupations persistent concernant son utilisation éthique et ses impacts sociaux. Les enseignants expriment une certaine réticence face à l’IA, craignant une déshumanisation de l’enseignement malgré son potentiel pour améliorer la qualité de l’apprentissage. Pour surmonter ces défis, des formations spécifiques et des directives éthiques sont recommandées afin de maximiser les bénéfices de l’IA tout en préservant les valeurs éducatives et sociales essentielles. En conclusion, bien que les étudiants reconnaissent l’utilité potentielle des outils d’IA, il est impératif d’approfondir l’intégration de cette technologie dans l’éducation pour exploiter pleinement son potentiel bénéfique et garantir une expérience d’apprentissage enrichissante au Maroc.

Selon la Banque mondiale, la croissance économique du Maroc devrait marquer un ralentissement à 2,9% en 2024.

Le récent rapport économique de la Banque mondiale, récemment publié, souligne la résilience de l’économie marocaine et son redressement, avec une croissance réelle de la production de 3,4% en 2023. Malgré divers défis tels que le ralentissement économique mondial, une inflation accrue, et le séisme d’Al Haouz, l’économie du Maroc a montré sa capacité à rebondir. Pour l’année en cours, les économistes de la Banque mondiale prévoient un ralentissement de la croissance à 2,9%. Les moteurs principaux de cette reprise incluent la relance du secteur touristique, les segments manufacturiers axés sur l’exportation comme l’automobile et l’aéronautique, ainsi que la reprise de la consommation privée. Le rapport souligne également l’impact positif des politiques macroéconomiques favorables telles que l’expansion du secteur public et la consolidation budgétaire.

JO 2024 : La flamme olympique fait une halte au stand marocain.

Avant l’ouverture des Jeux le 26 juillet, la flamme olympique a fait une halte lundi au stand marocain de la fan zone “Africa Station”, située à proximité immédiate du village olympique sur l’Île-Saint-Denis, en région parisienne. L’événement a été accueilli dans une atmosphère conviviale par les organisateurs de la “Maison Maroc”, en présence de plusieurs fans et du maire de l’Île-Saint-Denis, Mohamed Gnabaly. La “Maison Maroc”, inaugurée samedi dernier au cœur de l’espace festif “Africa Station” dédié à la culture et au sport africains, se distingue par son décor de tente caïdale ornée des couleurs nationales. Elle expose une sélection d’artisanat, de produits du terroir et de spécialités gastronomiques marocaines. La fan zone “Africa Station” restera ouverte jusqu’au 11 août, proposant au public des retransmissions de compétitions, ainsi que des animations, concerts, spectacles, expositions et rencontres avec les athlètes. Le 1er août, le site résonnera aux rythmes de la musique et de la culture marocaines, avec la participation d’artistes renommés du Royaume.

Connectivité : Le Maroc enregistre un score IDI de 91,7, marquant une amélioration de 2%.

L’Union Internationale des Télécommunications (UIT) a publié son rapport annuel sur l’Indice de Développement des Technologies de l’Information et de la Communication (IDI) pour l’année 2024. Ce rapport met en avant les progrès notables vers une connectivité mondiale efficace, caractérisée par un accès à Internet optimisé et abordable, accessible partout et à tout moment. En 2024, le Maroc a amélioré son score à l’IDI, atteignant 91,7 contre 81,9 en 2023, soit une augmentation significative de 2%. Cette progression reflète les efforts soutenus pour renforcer l’infrastructure numérique et encourager l’adoption des technologies à travers le pays. Malgré ces avancées, le Maroc doit encore surmonter plusieurs défis pour parvenir à une connectivité mondiale inclusive. Ces obstacles comprennent le coût élevé des communications dans certaines régions ainsi que la nécessité d’améliorer l’accès à Internet dans les zones rurales. Le rapport révèle que 98% des Marocains possèdent un téléphone mobile, témoignant d’une adoption généralisée de ces appareils. Par ailleurs, 80,2% de la population utilise Internet, indiquant une numérisation croissante au sein du pays. Cependant, seulement 47,7% des foyers disposent d’une connexion Internet à domicile, soulignant les disparités entre les connexions mobiles et fixes. En ce qui concerne la large bande mobile, il y a 72,5 abonnements pour 100 habitants, tandis que la couverture 4G/LTE s’étend à environ 58,1% du territoire marocain, ce qui reflète les efforts du gouvernement pour améliorer les infrastructures de télécommunications. En termes d’utilisation des données, la consommation moyenne par abonnement via la large bande mobile est de 3,6 Go, contre 36,1 Go pour la large bande fixe par abonnement. Ces chiffres montrent une dépendance croissante à Internet pour divers usages, allant des loisirs à l’éducation et au travail. Le rapport souligne également le coût élevé de l’accès à Internet au Maroc, représentant 12,6% du revenu national brut par habitant pour les données vocales et mobiles, et 23,0% pour l’accès à Internet via la large bande fixe. Ces coûts élevés constituent un obstacle à l’expansion de la base d’utilisateurs et à l’augmentation des taux de pénétration.

La Turquie vise à intensifier les échanges commerciaux avec le Maroc.

Le Maroc est inscrit comme l’un des pays cibles pour les exportations turques en 2024, selon le ministère du Commerce de la Turquie, qui souhaite intensifier les échanges commerciaux bilatéraux. À cette fin, une délégation de la Chambre de Commerce Casablanca-Settat a visité ce lundi la Chambre de Commerce d’Istanbul. Les deux entités ont exploré les moyens de moderniser et de stimuler les échanges commerciaux entre les deux pays. Hassane Berkani, président de la Chambre de Commerce Casablanca-Settat, a mené la délégation marocaine accueillie par Ahmet Özer, vice-président de la Chambre de Commerce d’Istanbul, en présence d’hommes d’affaires marocains. Özer a souligné que malgré un volume commercial de 4,4 milliards de dollars l’année dernière entre les deux nations frères, ce chiffre reste modeste. Berkani a souligné que les importations principales du Maroc depuis la Turquie incluent le fer, l’acier, le textile et l’automobile, tandis que l’année dernière, les exportations marocaines vers la Turquie ont dépassé un milliard de dollars, comparées à trois milliards de dollars d’importations. Il a exprimé sa volonté d’accroître ces échanges tout en maintenant un équilibre favorable aux deux pays. Les principaux produits exportés vers le Maroc comprennent le fer, l’acier, les textiles, les machines et équipements électriques, ainsi que les véhicules de défense et les équipements industriels. En retour, les produits les plus importés du Maroc depuis la Turquie incluent les véhicules automobiles et leurs pièces, les aliments pour animaux, les produits chimiques inorganiques, les engrais et les fruits de mer. Actuellement, environ 180 entreprises turques opèrent au Maroc dans divers secteurs tels que le textile, l’ameublement, la construction, la logistique, le commerce de détail, l’électroménager, les produits d’hygiène et la gastronomie.