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Vers une légalisation du cannabis au Maroc

Vers une légalisation du cannabis au Maroc

Grâce au projet de loi 13-21, relatif à l’usage légal du cannabis au Maroc, qui figurait à l’ordre du jour du Conseil de gouvernement, jeudi 25 février, une nouvelle filière s’ajoutera aux 19 filières agricoles déjà existantes au Maroc. Élaboré par le ministère de l’Intérieur, ce texte ouvre désormais la voie à la légalisation tant attendue de la culture du cannabis au Maroc à des fins médicales et thérapeutiques. Pour ce faire, le projet de loi a prévu, au niveau de son chapitre n°7, la création de l’agence nationale pour la légalisation des activités afférentes à cette culture. Dotée de la personnalité morale, cette entité publique se chargera de la mise en œuvre de la stratégie de l’État en termes de culture du cannabis en plus de son circuit de production, de fabrication, de transformation, de commercialisation et d’acheminement ainsi que de son export et import à des fins médicales, pharmaceutiques et industrielles. Le Maroc se conforme à l’évolution internationale En décidant d’encadrer cette culture pour des fins médicales et thérapeutiques, le Maroc s’est conformé à l’évolution de la situation internationale, surtout après la recommandation de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) de reclasser le cannabis et son déclassement par la Commission des stupéfiants des Nations unies (CND) dans l’annexe IV de la Convention unique sur les stupéfiants de 1961, telle que modifiée par le Protocole de 1972. Étant donné que le Maroc fait partie des 27 pays ayant voté pour ce reclassement, le mercredi 2 décembre 2020, la Commission nationale des stupéfiants, tenue le 11 février 2021, a adopté la consigne de l’OMS. À noter que le débat ressurgissait constamment autour de cette question de légalisation. De ce fait, la modification de la législation a été couronnée de succès grâce à la mise en place de ce cadre réglementaire. Voir tout l’article : Leseco

Société Générale Maroc inaugure de nouveaux centres d’affaires pour les entreprises

Société Générale Maroc poursuit la spécialisation de son réseau. Après l’ouverture des agences dédiées aux jeunes et TPE, la banque met sur le marché plusieurs agences «Centres d’affaires» dédiés aux entreprises. Les trois premiers centres d’affaires ont été inaugurés à Casablanca, Tanger et Agadir dans le cadre d’un plan de développement ambitieux auprès de la clientèle entreprise. «Conformément à la vision de la banque qui met la satisfaction client au cœur de sa stratégie, ces nouveaux espaces sont pensés pour les segments de clientèle spécifiques, avec des services sur-mesure et des parcours optimisés», souligne le groupe. Au-delà de l’approche conseil renforcée via des experts en services financiers, ces nouveaux centres d’affaires visent à améliorer les parcours clients. Ainsi, ils proposent un espace d’accueil où un assistant commercial accompagne les clients pour leur prise de rendez-vous et les oriente vers les services et les responsables concernés. Ils disposent en outre des espaces client proposant des zones d’attente connectées, avec des écrans d’affichage dynamiques pour découvrir les solutions de la banque. Les centres d’affaires comprennent également un espace commercial avec des salles de réunion équipées des dernières technologies en visioconférence, pour favoriser les échanges avec les Conseillers de Clientèle «en toute confidentialité et sécurité» Article source : Les Ecos 

Le Maroc reçoit 500.000 doses supplémentaires du vaccin anti-Covid chinois Sinopharm

En tout, le Maroc a donc reçu 1 million de doses du laboratoire chinois et 6 millions de doses du vaccin Covishield fabriqué par le Serum Institute of India sous licence AstraZeneca. Avec 7 millions de doses, le Maroc peut vacciner 3,5 millions de personnes. Au 15 février à 18h, il avait injecté la première dose à 1,7 million de personnes. Le rythme de la vaccination s’est accéléré avec plus de 318.000 personnes vaccinées lundi. L’accélération se poursuivra et de nouvelles cibles seront visées par la campagne de vaccination. Pour rappel, les autorités ont élargi la vaccination à tous les frontliners, quel que soit leur âge, ainsi qu’au grand public âgé de 65 ans et plus. Article source : Média 24

Vaccin anti-Covid AstraZeneca : les derniers lots d’attendu au Maroc fin mars

Le Maroc devrait réceptionner, avant la fin de cette semaine, la troisième livraison du vaccin AstraZeneca, en provenance de l’Inde. Le quotidien Al Ahdath Al Maghribia rapporte qu’il s’agit de 4 millions de doses de vaccin qui s’ajouteront à la quantité de six millions déjà livrée. Des sources autorisées indiquent que le reste de la commande, soit 10 millions de doses, sera livrée avant la fin mars, en trois étapes, sachant qu’une quantité supplémentaire de 5 millions de doses sera réceptionnée vers la fin mars ou début avril. Ce faisant, le laboratoire anglais aura honoré ses engagements envers le Maroc, contrairement au Chinois Sinopharm Wuhan qui n’a pas tenu sa promesse de livrer 40 millions de doses, faute d’autorisation de mise sur le marché. Néanmoins, les pouvoirs publics, qui jouaient contre la montre, ont eu recours au laboratoire de Pékin qui a développé un autre vaccin. Du coup, le Maroc devrait réceptionner, cette semaine, les 700.000 doses dont la livraison a été retardée pour des raisons logistiques. Ceci étant, si le calendrier des livraisons est respecté, le ministère de la Santé élargira l’opération de vaccination aux personnes âgées de 50 ans et plus. Il faut rappeler que ce département avait inclus, jeudi dernier, les catégories d’âge de 65 ans et plus, après avoir réceptionné 700.000 doses de vaccin anti-Covid 19. Le quotidien Al Ahdath Al Maghribia rappelle que le roi Mohammed VI avait personnellement lancé cette campagne de vaccination gratuite, jeudi 28 janvier 2021. Depuis, les centres de vaccination de toutes les provinces et régions du Royaume ont commencé à vacciner les catégories ciblées pour atteindre, à ce jour, 1,4 million de personnes. Par ailleurs, le ministre de la Santé a, lors d’une visite dans ces centres, déclaré que, «si la vaccination continue au rythme actuel et conformément au programme établi, nous pourrons vacciner 30 millions de Marocains (soit 80%) en l’espace de 3 à 5 mois. Du coup, nous parviendrons à réaliser une immunité collective et, par conséquent, à mettre fin aux conséquences négatives du virus pour que la population reprenne une vie normale». Autant dire que, jusqu’à présent, la politique de vaccination progressive en fonction de l’arrivée des doses de vaccin a montré son efficacité. Article source : Le 360

Municipalité de Rabat: le problème des parkings refait surface, vers une entente entre le wali et le maire

Les élus de la municipalité de Rabat se réunissent, ce lundi après-midi, 15 février 2021, en session ordinaire. À l’ordre du jour, la construction des parkings et leurs gestions. Mais pas seulement… “Nous discuterons de ce point à la demande de la Cour des comptes”, a affirmé un conseiller municipal, sous couvert d’anonymat, dans une déclaration pour Le360. Il rappelle que le Conseil de la ville a fourni de grands efforts financiers pour réaliser et contribuer à la construction de cinq grands parkings souterrains répartis à divers endroits du centre ville. Interrogé sur le différend ayant récemment opposé le wali de Rabat, Mohamed El Yacoubi, et le maire de la ville, Mohamed Sadiki, élu du PJD, au sujet de la construction d’un nouveau parking sur l’avenue Mohammed VI, principale artère du centre, la même source a indiqué que la tension entre les deux parties a vivement baissé. Et d’ajouter qu’en tant que premier responsable de la ville, le wali avait, de son côté, le droit de réclamer la réalisation d’un projet ayant un grand intérêt pour la capitale. Article source : le 360

Signature d’un accord de partenariat entre la MAP et l’ICESCO – Rabat

Rabat – Un accord de partenariat dans le domaine des médias a été signé, lundi au siège de l’ICESCO à Rabat, entre l’Agence marocaine de presse (MAP) et l’Organisation islamique pour l’éducation, les sciences et la culture (ICESCO). Cet accord, signé par le Directeur général de la MAP, M. Khalil Hachimi Idrissi, et le Directeur général de l’ICESCO, M. Salem Ben Mohamed El Malek, vise la mise en œuvre commune de programmes et projets pratiques, pour une durée de 5 ans renouvelables. En vertu de cet accord, les deux parties s’engagent à coopérer pour l’organisation de la 7ème Conférence internationale des agences de presse, prévue en 2022 à Marrakech et qui sera abritée par la MAP, ainsi que l’organisation d’ateliers de formation dans tous les domaines des médias au profit des journalistes dans les États membres de l’ICESCO, notamment en Afrique. L’accord englobe également la coopération dans le domaine de l’édition en formats papier et numérique, et la diffusion sur les supports médiatiques des deux parties, ainsi que la coopération dans la tenue des conférences médiatiques internationales, en plus de la publication et la production de supports médiatiques. Article Source : MAP Express

Lancement du programme “Tatwir croissance verte ” à Rabat

Le programme “Tatwir croissance verte” pour l’appui à la décarbonation des très petites, petites et moyennes entreprises (TPME) industrielles a été lancé, mardi à Rabat, dans le cadre du Plan de relance industrielle (2021-2023). Initié par le ministère de l’Industrie, du Commerce et de l’Economie verte et numérique et déployé à travers l’Agence nationale pour la promotion de la PME (Maroc PME) et l’Agence marocaine pour l’efficacité énergétique (AMEE), “Tatwir croissance verte” vise à accompagner les TPME industrielles dans leurs démarches de développement de process et produits décarbonés et à appuyer l’émergence de nouvelles filières industrielles vertes et la réduction de la pollution industrielle, rapporte la MAP. S’exprimant à cette occasion, le ministre de l’Industrie, du Commerce et de l’Economie verte et numérique, Moulay Hafid Elalamy, a indiqué que cette initiative s’inscrit dans le cadre de l’exécution des Hautes orientations Royales en matière de développement de l’économie verte, de promotion de l’efficacité énergétique et du développement durable. Article Source : Libération

Rabat : Se garer est devenu une « mission impossible »

Tourner en rond est désormais presque un rituel, une corvée quotidienne inévitable pour les Rbatis. L’offre de places de stationnement est incompatible avec la demande, d’où cet épineux problème qui s’aggrave encore plus avec l’activité anarchique des gardiens de voitures, devenus la hantise des automobilistes. Il suffit de baliser un terrain limitrophe, et de mettre un gilet jaune pour squatter illégalement les rues et dicter sa loi qui se résume au diktat de : « c’est à prendre ou à laisser! ». « L’Opinion » s’est rendu sur le terrain pour documenter le calvaire vécu par les automobilistes qui souhaitent garer leurs voitures au quartier Hassan, près du lycée «Lalla Aïcha» pour se rendre à leurs lieux de travail. Vers 07h30-8h00, quelques gardiens de voiture s’autoproclament maîtres des lieux et se réservent des places de stationnement au profit de leurs clients habituels ou à ceux qui paieront le plus, en y mettant des barrières ou de grosses pierres. «En tant que Maire de Rabat, je ne peux que dénoncer cette pratique qui sévit de plus en plus dans la ville. J’interpelle les autorités publiques, notamment le Wali de la région pour régulariser ce secteur qui perdure depuis de longues années», a indiqué le Maire de Rabat, Mohamed Saddiki. Entre suffisance et insuffisance ! Selon le Maire, la ville lumière dispose d’un nombre suffisant de parkings, faisant référence aux nouvelles structures souterraines construites dans la capitale. «Nous venons d’achever le parking Bab Lhad qui sera mis en service incessamment et sera, par ailleurs, doté de 500 places. Pareillement pour le parking de Bab Chellah dont la fin des travaux est prévue pour le mois de juin prochain, et ceux de Bab Laâlou, de la place Abou Bakr Seddik et de la place Othman Ibn Affane qui sont en cours», a-t-il souligné. Néanmoins, ces derniers sont rarement utilisés par les Rbatis du fait des prix proposés qui sont jugés en deçà de leurs attentes. Saâd Benmbarek, président du Conseil d’administration de la Société de Développement Local «Rabat Parking», n’est pas du même avis. Selon lui, «les parkings souterrains existants ne répondent pas aux besoins des habitants, pour la simple raison qu’ils ne proposent que quelques centaines de places », illustrant ses propos par l’exemple du parking de Bab Lhad. Celui-ci «n’offre que 500 places de stationnement sachant que cette zone de la ville connaît un afflux important d’automobilistes, spécialement durant les heures de pointe », a-t-il expliqué. Par ailleurs, notre interlocuteur nous a affirmé que le problème de stationnement est particulièrement dû à la mauvaise gouvernance de la mairie, et à son refus de recourir à une politique de verbalisation qui s’inscrit dans le cadre de son engagement dans une démarche populiste». A ce propos, M. Benmbarek nous a rassuré que les prix sont conformes à une grille tarifaire très raisonnable qui varient selon les étages. Et de préciser que Rabat Parking ne cherche pas un retour sur investissement, car ne serait-ce qu’une place de stationnement qui coûterait, selon le responsable, près de quatorze millions de centimes. Article source : L’opinion

Bank Of Africa lance sa nouvelle plateforme de crédit à la consommation « creditdaba.ma »

« Après l’ouverture de compte à distance agencedirecte.ma, le crédit habitat en ligne credithabitat.ma et la plateforme de crédit pour les entreprises creditbusinessonline.ma, BOA innove encore en lançant sa nouvelle plateforme de crédit à la consommation « creditdaba.ma » », indique BOA dans un communiqué, relevant que cette plateforme s’inscrit dans le cadre de sa stratégie d’innovation et de développement continu des offres en ligne. « Dans un contexte de transformation digitale, marqué par l’évolution des besoins et des attentes des clients, il est nécessaire de s’adapter à travers des offres multicanales et une expérience client optimisée », note BOA, précisant que cette offre de financement destinée à tous types de besoins (maison, famille, loisirs…) vient simplifier le processus de demande de crédit à la consommation à travers un parcours 100% digital, rapide et fluide. Ce nouveau parcours digital qui répond aux exigences d’une clientèle de plus en plus digitalisée, offre aux utilisateurs plusieurs avantages, à savoir le gain de temps considérable (plus besoin de se déplacer en agence pour demander un crédit à la consommation) et le confort optimal (puisque la demande peut se faire à partir d’un PC/tablette/mobile 24H/24 et 7j/7). Il s’agit également de la transparence absolue à travers le suivi du dossier de crédit en ligne, l’accord de principe instantané et l’assistance et accompagnement à distance des équipes de l’Agence Directe 7j/7 de 8h à 20h pour assister le client dans toutes les étapes de sa demande. Et en guise d’offre de lancement, les clients profiteront d’un différé de paiement de 3 mois ainsi que de la gratuité des frais de dossiers, poursuit la même source. Accordant une place stratégique à l’innovation des offres et résolument engagée à entretenir une relation de proximité avec ses clients et à les accompagner constamment pour répondre au mieux à toutes leurs attentes, BOA traduit ainsi son engagement fort et son positionnement de banque connectée à l’avenir et en permanence à son écosystème, conclut le communiqué. Article Source : La Vie Eco

Le Maroc importe 48% de ses besoins en médicaments

• DURANT LES ANNÉES 90 DU SIÈCLE DERNIER, LE MAROC IMPORTAIT SEULEMENT 20% DE SES BESOINS. • LES MÉDICAMENTS IMPORTÉS ET QUI ONT UNE ALTERNATIVE FABRIQUÉE AU MAROC REPRÉSENTENT 2 MILLIARDS DE DIRHAMS PAR AN. • LA FABRICATION LOCALE DE L’INSULINE EST L’UNIQUE PRODUCTION PROTÉGÉE PAR DES MESURES ANTI-DUMPING. La crise sanitaire est une période où la préférence nationale est considérée comme l’un des moyens en mesure de renforcer l’économie. Dans le secteur pharmaceutique, cette préférence prend tout son sens alors que la pandémie persiste. En 2019, le Maroc a importé 48% en valeur de ses besoins en médicaments de l’étranger. Durant les années 80 et 90 du siècle dernier, on n’importait que 20% de ces besoins. Ce qui représente, d’après les industriels, une grande perte subie par la production locale. Évidemment, une bonne partie de ce pourcentage (48%) est représentée par les médicaments concernant le traitement des maladies chroniques, non encore «génériqués». Si nous ne connaissons pas combien cela représente en chiffres, plusieurs alternatives à ces médicaments sont toutefois fabriquées au Maroc. Cela dit, l’importation de médicaments dont les similaires et équivalents sont fabriqués au Maroc est estimée à deux milliards de dirhams. «Plusieurs autres médicaments peuvent être fabriqués au Maroc. Cela veut dire que nous pouvons réduire encore plus le pourcentage de 48%», déclare Layla Sentissi, directrice exécutive de l’Association marocaine de l’industrie pharmaceutique (AMIP). Récemment, l’AMIP a commandité une étude afin de déterminer le manque à gagner engendré par ce pourcentage dans le segment privé. L’association a également déposé une saisine auprès du Conseil de la concurrence au sujet d’une marge accordée aux médicaments importés. Actuellement, tous les produits importés bénéficient d’une marge supplémentaire de 10%, ce qui se répercute sur le prix final. Cette marge qui suscite le mécontentement de l’industrie pharmaceutique nationale pousse les opérateurs à opter pour l’importation au lieu de fabriquer eux-mêmes les médicaments. Article Source : La Vie Eco